ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 19 MAI 2015 Le 19 mai à Paris-La Défense, 731 actionnaires ont assisté à l’Assemblée générale ordinaire de Société Générale présidée par Frédéric Oudéa. Le quorum s’est établi à 54,66 %, contre 58,27 % en 2014. Pour mieux répondre aux attentes ces priorités lors de sa présentation des actionnaires, plus de 5 000 d’entre des enjeux stratégiques du Groupe. eux ont été consultés par voie Séverin Cabannes, Directeur général électronique sur les thèmes qu’ils délégué, a ensuite présenté les souhaitaient voir abordés en priorité, résultats. Le Premier vice-président à savoir : le niveau d’exposition aux du Conseil d’administration, Anthony risques, les résultats et la solidité Wyand, a détaillé la nouvelle financière du Groupe, la stratégie et gouvernance : la Direction générale, les projets de développement. qui reste confiée à Frédéric Oudéa, Le Président-Directeur général a été dissociée de la Présidence Frédéric Oudéa a tenu compte de du Conseil d’administration, qui « Poursuivre la transformation du Groupe » 4 | LA LETTRE DE L’ACTIONNAIRE_JUIN 2015 revient à Lorenzo Bini Smaghi. Deux nouveaux administrateurs, Barbara Dalibard et Gérard Mestrallet, se sont enfin présentés à l’assemblée. Les 14 résolutions ont été adoptées. Le dividende versé au titre de l’exercice 2014 est de 1,20 € par titre, en espèces, contre 1 € en 2013, détaché le 26 mai et mis en paiement le 28 mai. Société Générale a connu en 2014 une année riche marquée par ses 150 ans et la présentation de son plan stratégique, définissant les bases sur lesquelles elle entend se développer. En 2015, le contexte macro-économique et financier demeure incertain et assez paradoxal, avec notamment un environnement géopolitique tendu en Ukraine et au Moyen-Orient, une situation fragile de la Grèce, et le ralentissement de grands pays émergents. En même temps, les politiques des banques centrales sont toujours très accommodantes. En Europe, la baisse de l’euro, des prix de l’énergie et des taux d’intérêt constituent autant de facteurs stimulants pour l’économie. Mais huit ans après le début de la crise, l’environnement réglementaire très contraignant a rendu le métier bancaire plus complexe. Enfin la progression des technologies numériques a modifié le comportement de nos clients. Une stratégie de croissance Face à ces transformations profondes et durables, nous confirmons notre ambition d’être, en Europe, LA banque relationnelle de référence sur ses marchés, proche de ses clients, retenue pour la qualité et l’engagement de ses équipes. Cette ambition de long terme est exigeante et s’appuie sur trois priorités stratégiques, qui sont clés pour générer de la croissance. Il s’agit d’abord de continuer à accroître la satisfaction de nos clients ; en tant qu’entreprise de service c’est un objectif prioritaire. Ceci passe notamment par l’innovation, où nous sommes, et souhaitons le rester, leaders. Notre croissance s’appuiera également sur le développement de nos activités et l’accroissement des synergies.
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